Enfourcher son vélo,
dévaller la côte,
les cheveux au vent,
les méches cinglent
mes joues
je revis
Un peu de hardiesse,
je tends les bras,
l'air caresse ma peau,
je frissonne
Emportée par
l'ivresse,
un vent de liberté
me susurre
" libères toi !"
Je ris, personne ne m'entends
le vent emporte ma fougue
ça yest je suis arrivée
je regarde le chemin
puis, repars
espérant retrouver
rapidement
cet impression de voler
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire