samedi 27 juin 2009

Quelle chaleur !

Le thermomètre, ne sait plus
où donner de la tête ...

Vite, trouvons un peu de fraicheur,
allongeons-nous sur les draps
de coton

La chaleur augmente ...

Le sirocco, enveloppe les corps
leur donnant moiteurs et désinvoltures
abandonnés, sans retenues

Aiguisant les envies
les effleurements, se font
les bisous dans le cou,
propices à une invitation

Une tendre étreinte naît

Oisiveté

Aujourd'hui, j'ai décidé
de jouir d'une certaine oisiveté,
comprenez, ne rien faire
c'est tellement rare
de pouvoir se complaire,
dans cet état

Nous, les femmes
sommes toujours si affairées
aux tâches ménagères,
au travail,
aux enfants et au mari

Nous devons nous diviser,
enfin nous multiplier,
à raison d'au moins,
deux tâches simultanées

D'ailleurs, les hommes en général
nous admirent, ils nous reconnaissent
au moins cette qualité

Là, et la différence entre homme
et femme
nous sommes pluri et eux mono

Mais de l'oisiveté, rarement
nous pouvons en jouir,
enfin en profiter