Au réveil,
je ne sors de mon lit,
qu'après 7 h 13,
Je pose à terre, le pied
qui ne me mettra pas
l'humeur de travers
Je prend avec précaution,
le miroir pour me raser
de peur de le faire tomber
J'évite d'ouvrir au chat de la voisine,
qui miaule devant ma porte,
me suppliant une tasse de lait
Je sors de chez moi,
en disant "au revoir maison",
pour être sûr de la revoir
Je fuis les échelles,
passant de l'autre côté de la rue
En retard, je suis,
comme chaque matin
n'ayant pas trouvé de train
Je croise les doigts,
je mens à tout va,
je suis superstitieux
des rituels, j'en suis plein
J'aimerai m'en défaire,
mais je crains trop
les cata qui en découleraient
Laissez-moi à mon triste sort,
je ne peux vivre normalement,
je survie juste à ses croyances
qui rythment ma vie,
depuis mon adolescence
mercredi 8 juillet 2009
Folle cavalcade
Une selle, des étriers,
des bottes sont montées,
La cravache atterrit sur la bête,
qui part au triple galop
Son écuyère sur le dos,
il pourfend le vent
il ne sait où il se rend,
Un cri se fait entendre,
sur la plaine de la lande
la monture affolée,
à traversée la vallée,
elle gambade le long de la falaise,
apeurant la dame en détresse
Qui pourra la délivrer,
de cette folle cavalcade
de l'animal volant
des bottes sont montées,
La cravache atterrit sur la bête,
qui part au triple galop
Son écuyère sur le dos,
il pourfend le vent
il ne sait où il se rend,
Un cri se fait entendre,
sur la plaine de la lande
la monture affolée,
à traversée la vallée,
elle gambade le long de la falaise,
apeurant la dame en détresse
Qui pourra la délivrer,
de cette folle cavalcade
de l'animal volant
Aussi Beau qu' un Dieu...
Une carrure de géant,
des mains pratiquement aussi grandes,
qu'une maison,
une immense chevelure blanche,
des hanches généreuses,
Qu'il était beau ....
aussi beau qu'un Dieu
Il portait la barbe,
lui donnant un air de patriarche
Son regard transperçait,
d'un bleu océan, qui vous emporte
vers d'autres horizons.
des mains pratiquement aussi grandes,
qu'une maison,
une immense chevelure blanche,
des hanches généreuses,
Qu'il était beau ....
aussi beau qu'un Dieu
Il portait la barbe,
lui donnant un air de patriarche
Son regard transperçait,
d'un bleu océan, qui vous emporte
vers d'autres horizons.
Un dur au coeur tendre
Il est arrivé par un matin de juillet,
il semblait s' être égaré,
son regard était dur, perçant,
sa barbe lui donnait l'air d'un Robinson
J'ai sondé son âme,
lui posant mille questions,
il restait impassible, à juste raison
Le temps avait endurci son cœur,
il s'était construit une forteresse,
pour se protéger des duretés de la vie,
Il entendait, certes, mon appel,
mais ne pouvait y répondre,
sans détruire ce mur, aussi dur que le béton
Il lui fallait du temps, un apprivoisement,
une résurrection ...
Pour se libérer enfin de la prison,
dans laquelle, il s'était protéger
pendant toutes ces années
du monde environnant
il semblait s' être égaré,
son regard était dur, perçant,
sa barbe lui donnait l'air d'un Robinson
J'ai sondé son âme,
lui posant mille questions,
il restait impassible, à juste raison
Le temps avait endurci son cœur,
il s'était construit une forteresse,
pour se protéger des duretés de la vie,
Il entendait, certes, mon appel,
mais ne pouvait y répondre,
sans détruire ce mur, aussi dur que le béton
Il lui fallait du temps, un apprivoisement,
une résurrection ...
Pour se libérer enfin de la prison,
dans laquelle, il s'était protéger
pendant toutes ces années
du monde environnant
Les amants
Une simple phrase, un message
résumant une tendresse, une attention
des remerciements, des égards
une réponse, une requête
Un sourire, une esquisse,
une profondeur d'âme,
nichée dans un regard,
Une hardiesse, une demande,
des mains posées,
des soupirs expirés,
un vent de folie souffle ...
Une relation sans témoin,
le vent s'engouffre,
les voilages s'envolent
protégeant les amants
résumant une tendresse, une attention
des remerciements, des égards
une réponse, une requête
Un sourire, une esquisse,
une profondeur d'âme,
nichée dans un regard,
Une hardiesse, une demande,
des mains posées,
des soupirs expirés,
un vent de folie souffle ...
Une relation sans témoin,
le vent s'engouffre,
les voilages s'envolent
protégeant les amants
Echaudée
Pour un prince pendu au balcon,
nuit et jour,
il me chantait sa chanson
En lui accordant un baiser,
il m'a pris le cœur,
j'ai soupiré ...
L'attendant chaque semaine,
il n'était plus,
il était parti,
vers d'autres femmes
Me voici, bien attrapée
tout de guingois, je suis,
ma tête est perdue
dans les méandres du passé
Je l'ai tant aimé,
me voici échaudée
nuit et jour,
il me chantait sa chanson
En lui accordant un baiser,
il m'a pris le cœur,
j'ai soupiré ...
L'attendant chaque semaine,
il n'était plus,
il était parti,
vers d'autres femmes
Me voici, bien attrapée
tout de guingois, je suis,
ma tête est perdue
dans les méandres du passé
Je l'ai tant aimé,
me voici échaudée
Inscription à :
Articles (Atom)