Je me cache...
Je joue
derrière mes sentiments
Je me mens ...
j'avoue
"je n'aime plus
les gens"
C'est pire ...
un déluge
un raz de marée
déferlent
J'évacue...
je continue
à jouer
je me promets ...
j'espère,
je reprend
le cours de la vie
anéantie,
seule,
je joue
encore
espérant
dans l'infini
Qu'au cache-cache,
me menant
à ton cœur
je ne serai plus
mono mais duo
De ce jeu,
j'espère ...
que tu trouveras
toi mon ami
une pointe de poésie
De cette humour
à cache-cache
tu me découvriras
m'effeuilleras
Et dans mon cœur
tu me procuras
le plus grand
des bonheurs
dimanche 26 avril 2009
Troublant
De sensation
en amnégation
les sentiments
s'emmêlent
se démêlent
au fil du temps
et des saisons
Des soucis
au tracas
On tente
d'enfouir au fond
de soi,
les douleurs,
les pressions,
tous ce qui troublent,
qui déstabilisent
On se veut fort
aux yeux de tous
on rit,
on chante,
on joue la comédie
rien, ni personne,
ne semble
nous atteindre
Mais, pourtant ...
Le soir venu,
muré
chez soi
la souffrance jadis
enfouie,
le cœur
au bord
du vide
On sanglote
On tremble
Des accumulations
On n'en peut plus
On aimerai détruire
ce monde insipide
qui nous entoure
On doit trouver
les forces
pour braver
les gens,
les médisants
Ceux qui ne savent pas
ceux qui ignorent
qu'un être peut paraître
heureux
et être troublé,
débordé
envahi et déstabilisé
Ne plus penser
se laisser dériver
au fil du courant
On ferme les yeux
la mémoire se brouille
les souvenirs s'estompent
Juste oublier pour un temps
se laisser porter
par les événements
Vivre au présent
en amnégation
les sentiments
s'emmêlent
se démêlent
au fil du temps
et des saisons
Des soucis
au tracas
On tente
d'enfouir au fond
de soi,
les douleurs,
les pressions,
tous ce qui troublent,
qui déstabilisent
On se veut fort
aux yeux de tous
on rit,
on chante,
on joue la comédie
rien, ni personne,
ne semble
nous atteindre
Mais, pourtant ...
Le soir venu,
muré
chez soi
la souffrance jadis
enfouie,
le cœur
au bord
du vide
On sanglote
On tremble
Des accumulations
On n'en peut plus
On aimerai détruire
ce monde insipide
qui nous entoure
On doit trouver
les forces
pour braver
les gens,
les médisants
Ceux qui ne savent pas
ceux qui ignorent
qu'un être peut paraître
heureux
et être troublé,
débordé
envahi et déstabilisé
Ne plus penser
se laisser dériver
au fil du courant
On ferme les yeux
la mémoire se brouille
les souvenirs s'estompent
Juste oublier pour un temps
se laisser porter
par les événements
Vivre au présent
Les anchois
On ouvre la boite ...
Ils sont là
allongés
se serrant,
se pressant,
ne demandant
qu'à s'en extraire.
Patiemment,
On les sépare
un à un,
les allongeant
sur le coulis
encore chaud
de la pizza
fraîchement réalisée
Une voix annonce :
la commande pour
monsieur Z. est réalisée
On peut admirer
les anchois
en partance
pour le soleil
se dorer sous
le ciel de la voute
Aiguisant les saveurs
se mêlant aux fromages
égayant les papilles
Les yeux s'écarquillent
la bouche s'humidifie
La sortie du four
ne se fait pas attendre
à point et dorés
les voilà
encore une fois
une dernière fois
à se laisser contempler
Le couteau entame
une part, puis une seconde ...
jusqu'à la fin
Les anchois ne sont plus
mais la panse est ravie
d'un tel festin
Ils sont là
allongés
se serrant,
se pressant,
ne demandant
qu'à s'en extraire.
Patiemment,
On les sépare
un à un,
les allongeant
sur le coulis
encore chaud
de la pizza
fraîchement réalisée
Une voix annonce :
la commande pour
monsieur Z. est réalisée
On peut admirer
les anchois
en partance
pour le soleil
se dorer sous
le ciel de la voute
Aiguisant les saveurs
se mêlant aux fromages
égayant les papilles
Les yeux s'écarquillent
la bouche s'humidifie
La sortie du four
ne se fait pas attendre
à point et dorés
les voilà
encore une fois
une dernière fois
à se laisser contempler
Le couteau entame
une part, puis une seconde ...
jusqu'à la fin
Les anchois ne sont plus
mais la panse est ravie
d'un tel festin
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