J'ai fais semblant de t'ignorer,
durant toute la journée ...
Puis, tu t'es assis à mes côtés,
tu as commencé à tapoter sur les touches
de ton clavier
Chaque clapotis était une douce mélodie
Forcée de constater que tu me rendais
toute chose ...
malgré ma retenue, ma fausse indifférence,
mon être était chamboulé
Je n'osais me tourner vers toi,
craignant que tu lises dans mes pensées
le bouleversement que tu me procurais
Mon cœur chavirait,
ma tête se contentait de me répéter ...
"ne pas le regarder, rester zen"
Lorsque tu eus fini ton travail,
tu t'étiras ...
Comme tu étais beau,
divinement attirant
Qu'avais-je pu faire,
pour me retrouver dans cette situation,
c'était suprêmement insupportable
et si bon à la fois
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