Tu as jailli dans mon jardin,
poussant de façon sauvage,
afin de confirmer ta présence
j'ai roulé entre mes doigts
une de tes feuilles duveteuse
Ta volupté, s'est réveillée
j'ai humé cette odeur
c'était doux, poivrée
de la menthe en somme
Ta cousine, la menthe douce,
admire ton caractère marqué
mais se console en étant
l'incomparable élément
du thé marocain
Finalement que tu sois poivrée,
ou douce, tu nous fais battre le cœur
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