Depuis quelques mois,
j'étais sans nouvelles d'eux,
ou si peu
Depuis, que je suis rentrée
les relations sont revenues,
comme renouées par le passé
Je les surprend à me taquiner,
à tenter de me faire sourire
La pesanteur des faits,
ne m'incite guère à me libérer
C'est avec des efforts surhumains,
que je tente de baisser ma garde
Scrutant à l'horizon,
si mes ennemis, ne sont pas là,
à m'épier, à sauter sur l'occasion,
pour mieux m'enfoncer
Méfiante, je demeure,
même si je sais que certains,
sont des copains, enfin presque des amis
Je ne veux leur faire de mal,
mais de réserve je reste
pour éviter d'ajouter une souffrance,
à ma détresse
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