mardi 2 juin 2009

Fête des mères

Dans 7 jours, exactement,
nous encenserons les mamans
Même si je n'ai plus la mienne,
je dédie ce poème à toutes celles
qui l'ont été, le sont, ou le seront
C'est non sans une certaine mélancolie,
que j'irai déposé ce premier bouquet
sur ta tombe, ma maman chérie

Je me souviens, de la tendresse
de tes mains sur mon visage,
de tes baisers, le matin au réveil
de ton regard doux et bienveillant

Il n'y a qu'une maman,
pour comprendre
ce que ressent son enfant
pour le consoler, l'aimer
le pousser dans la vie

Même si un jour,
nous devons quitter le nid
nous revenons toujours
dans ses bras,
nous faire coocooner
lui demander de nous protéger
encore une fois

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