J'ai jeté l'ancre,
je me suis assis
et j'ai laissé
mon regard
se perdre
dans le lointain
Levant la main
de temps à autres ,
faisant signe
aux autres bateaux
Le coucher de soleil
pointa bientôt son nez,
le vent se leva
Un frisson me parcouru ...
Il était temps de rentrer ...
Je remonta dans ma coque,
hissant la voile
Et me dirigea
vers l'embarcadère,
où attachant ma vieille amie
je poursuivis ma route,
jusqu'à la porte
de mon havre de paix
J'alluma le foyer
de ma pipe adorée
m'asseyant dans le fauteuil à bascule,
d'où je puis contempler
ce rivage que je chérissais
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