mardi 5 mai 2009

Paresse

J'aime te voir,
engourdi
à la sortie du lit

T'étirant
pareil à un chat,
tes muscles
se détendent

Puis, tu t'allonges
de nouveau
me contemplant

La paresse
m'envahit,
je reste au lit,
à te caresser

La journée peut bien passer
il y en aura certainement
d'autres ...

Où nous déciderons
de nous lever,
de vaquer
à nos occupations
du quotidien

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