Lourd est l'écuyer
chevauchant sa monture
Les flancs généreux, elle a
Le jeune homme fougueux,
les frappe sans un certain ravissement
La bête se met à gémir presque tendrement
Sa tête se promenant
dans un va et vient, imperturbablement
Parfois, il la caresse se voulant
rassurant dans l'action
L'écuyer ne veut donner
que le meilleur de lui-même
Aussi, dans un ultime effort,
l'écuyer et la bête ne firent qu'un
S'unissant pour vaincre l'obstacle
et sortir vainqueur de cette épreuve
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