Je ne savais pas
que l'on pouvait
aimer à en tuer
On pousse parfois
la porte de l'inconnu
et on l'attend
on le regarde
et on l'aime
Puis, on s'attache
on ne sait comment
c'est réciproque
on aimerait raisonner
mais les sentiments
emportent nos cœurs
Notre tête ne fait pas le poids
contre ce duo,
infernale est la spirale
on voudrait s'en dégager
on est pris au piège de l'amour
Et pourtant, on ne sait pas
que derrière nos élans
une femme attend loin derrière,
que sa moitié revienne
Qu'elle protège en elle,
une moitié de son mari
et que les événements
la pousseront bientôt au pire
celle de tuer son enfant
bien involontairement,
juste par la faute des événements
Son corps repoussera cet enfant,
qui est le témoin bien naïvement
de leur amour avorté
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